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rivée par divers temples antiques (pourquoi ce style ?) qui doivent être des édifices publics mais ne sont pas toujours achevés, à moins qu'ils soient en ruines. Mais tout le centre garde du caractère, avec ses rues très étroites à fenêtres andalouses où on rencontre même de temps en temps quelques indigènes en costumes très colorés. Un peu de plaine. Quelques villages blancs. Une grande église de pierre. Totonicapan : dans une vallée entourée de montagnes : il y a déjà une foule d'indiens au costumes pittoresques, où domine le rouge. Ensuite lente montée au flanc de "barrancas" boisées et [illisible], avec parfois de petits champs en terrasses. On monte toujours au milieu des arbres, parfois énormes. La montée est très longue ; les arbres s'espacent ; le "zacaton" apparaît en grosses touffes. Le froid devient vif malgré le soleil de 1 h à 2 h de l'après-midi. Toujours des "barrancas" boisées en contrebas et des horizons montagneux et verts. Pays for pittoresque, mais bien peu propice à une exploitation moderne, en dehors peut-être des bois qui semblent en partie vierges et plus anciens et plus gros qu'au Mexique. Après cette montée interminable qui nous mène peut-être à 4 000 mètres dans de hautes prairies froides semées d'arbres tordus, on redescend vers de grands horizons où s'allongent des sierras, bientôt toutes [couturées ?] de cultures malgré l'altitude. Solola vers 4 h. Le marché se termine. Nombreux indiens à la large culotte