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la hauteur, fait son entrée et tout de suite
 
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Mme de Coëtlogon le prend sur ses genoux
 
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et se met à le dorloter. Une petite file
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et se met à le dorloter. Une petite fille
 
en haillons entre également. Elle est paraît-il,
 
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l'enfant des êtres les plus laids qui
 
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du Guindy. On leur a offert [130 S.?]
 
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des 500 Kgr. C'est un prix à peux près rémunérateur.
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Ce Guillou est un bonhomme
 
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— Re marteze, observe Mme de Coetlogon.
 
— Re marteze, observe Mme de Coetlogon.
   
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Version du 11 novembre 2018 à 14:47

78 instituteur à Paris, qui a sa maison sur la hauteur, fait son entrée et tout de suite Mme de Coëtlogon le prend sur ses genoux et se met à le dorloter. Une petite fille en haillons entre également. Elle est paraît-il, l'enfant des êtres les plus laids qui soient dans le quartier. Mlle de Coëtlogon lui donne rendez-vous pour le bain : elle habitue toute cette petite humanité malpropre à se rafraîchir dans l'eau salutaire de la mer. Surviennent Henri et un voisin du nom de Guillou qui viennent d'aller proposer du lin aux moulins du Guindy. On leur a offert [130 S.?] des 500 Kgr. C'est un prix à peu près rémunérateur. Ce Guillou est un bonhomme jovial. Le maire de Plougrescant, Roquefeuil, lui en veut de fréquenter les Coëtlogon, mais, observe-t-il, personne ne peut l'empêcher de fréquenter lec'h venn arri mad. Il a beaucoup d'humour paysan, sait le français, mais s'obstine à parler breton, malgré les supplications de Melle Ternière qui voudrait comprendre ce qu'il dit. Il a, paraît-il, des jeunes filles délicieusement jolies.

— Ya, ha labouront a reont ié, dit-il drôlement.

— Re marteze, observe Mme de Coetlogon.

— Oh ! fait-il, na réont nemet velton ma unan. Me meus labouret pad ma buhe.

Après que l'on a pris le café, nous partons