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Paris, le 18 9bre 1898
Bien cher maître et ami,
Je viens vous remercier de votre bonne lettre ; et si je prie encore M. Cherion, mon excellent secrétaire et collaborateur, de prendre la plume, cette fois, à ce qu'il écrive sous ma dictée pour que ma pensée vous parvienne plus directement. Je comprends maintenant de quelle façon on emploie les finances de la France,. Il faudrait être aveugle, en effet, pour ne pas voir que seuls les reliefs de ce gros gâteau qu'on nomme le budget, soient réservés à ceux qui travaillent avec