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Paris, 10 mai 84

Mon cher père, Merci de votre aimable lettre je ne suis pas encore tout à fait mort, quoique ayant été assez souffrant, l'équilibre se rétablit et je vais en profiter pour reprendre mes pérégrinations.

Malheureusement, je ne puis commencer par vous. Je vais d'abord dans le Finistère, puis dans la Côte d'or et enfin en Poitou, ce qui veut dire que je vous arriverai vers le 10 ou 15 juin.