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30 décembre 1897

Mon Rev. Père et cher Collègue,

Je vous remercie des deux brochures que vous m'avez envoyées. L'affaire de la cappe de Saint-Martin mérite, en effet, d'attirer l'attention, mais vous savez combien je suis étranger à l'archéologie du Moyen-Age et en particulier à la question des vêtements et des étoffes. Cela eut été l'affaire de notre pauvre et regretté Quichenot! Il a eu des successeurs, de Lasteyrie, Molinier, Lefèvre Pontalis, [Enhart?], [Meintz?], voilà des hommes qui peuvent vous éclairer et vous donner un avis avec compétence. Pour moi j'en suis incapable. S'il s'agissait d'une