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y travaillent. Autres ateliers : menuiserie (font des lits) et soudure (charpentes très légères pour les éléments de granjas). Puis élevage de poules, de canards, de lapins, de porcs, de vaches. Supervision de 1 ou quelques techniciens habitant à Toluca et venant tous les jours.
60 familles, ou chefs de familles intègrent l'ejido. (Tout ceci sans l'autorisation du departemento agrario, trop lourde organisation administrative, qui tarde des années à donner les autorisation). En pleine zone otomé : la plupart des hommes sont bilingues.
d'après l'ingénieur Favila :
= Le pueblo a fortement augmenté de population : 653 habitants en 1923, 1020 habitants en 1959
aussi dans le [illsible], parcelle ejidale d'environ 1/2 hectare La propriété privée est côte à côte on mélange avec la propriété éjidale. En moyenne : 60 jours de travail par an par homme.
Une série de plans montre l'évolution avant et depuis l'expérience.
Avant - 1959 [plan avec légendes] propriété privée propriété éjidale (maïs + qes ou rien)
- 116 éjidatarios . 80 ont accepté le travail en commun (et non plus individuel des parcelles) . se sont retirés, à cause, semble-t-il, d'une propagande présentant le travail en commun comme "communiste" et la collectivisation de la terre et propriété. L'ingénieur Favila (60 ans environ) [commente ?] cette scission, qui s'accentuera en 1961 : on note partout ces deux tendances, parfois en opposition violente, qui pourraient amener au Mexique une nouvelle révolution, soit castriste, soit de droite.
Le remède à ces 2 types de "propriété" mélangés : absorber la propriété privée, ou opter.
- 1960
[plan avec légendes]
maïs
alfalfa
chichuro
hortaliza
diversification des cultures, groupées dans certains nombre de parcelles, faites en commun.
-1961 id. genre de cultures, diversifiées (6 cultures)
Mais il se produit une nouvelle scission, et il n'y a plus que 63 familles, pour le travail collectif, dans 39 hectares (effets du PAN etc.)