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ejidal a en dépôt et utilise pr bien d'autres choses ! Mais fureur des compagnies et marchands de bois, qui ont leurs arrangements avec la secretaria et le Banco...

M. Rto Alvarez réunit les notables du village (le "gobernadorcillo", le commissaire ejidal...etc. plus des [en marge I.N.I] jeunes plus évolués, sans les costumes traditionnels. un vieux important, chargé de croix, un chapelet autour du cou). L'ejido a non seult ses [en marge (visite à la scierie)] bois, mais maintent sa propre scierie, qu'il administre lui-même avec l'aide de l'INI, un "technicien" étant rétribué par lui, avec des aides - les autres travailleurs sont des ejidatarios. (avant la scierie appartenait aux "cies madereras") Ces bois, sagement administrés, pourront donner, et donnent déjà, des gros revenus si l'on songe que l'ejido a 30.000 has. (tt compris), et qu'1 ha. de bons bois - 8.000 pieds3 (= 8-10000 pesos).

Ce cas va servir d'exemple et de modèle, ds l'idée d'A. Caso, la plupart des communautés étant des ejidos (au moins en puissance), seule Guachochi a des bois qui sont propriétés particulières.

Ces bois st l'avenir car il s'agit de terres pauvres où le déficit de maïs est chronique.

- Le soir excursion au "divisadero" par Creel et la nouvelle (route) de la côte, qui est une future ligne de chemin de fer, avec nombreux tunnels. mais brouillard et pluie : on ne voit rien de "la barranca del Cobre". Cette voie de pénétration depuis Creel a permis depuis plus longtemps les coupes en règle : il n'y a plus que de tous petits pins dans tte cette zone.

Creel est une sorte de Far-West pour les métis de l'intérieur, qui y ont mis à sac tous les bois, et voudraient continuer plus loin. L'arrêt par l'INI, les transformations de ces bois en ejidos commencent à ralentir le mouvement, ou même faire partir les métis. En attendt c'est le même genre Far-West : rues défoncées, camions embourbés ou abandonnés bistrots louches, Prostibulo... terminus du ch. de fer.