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Cette attitude est orgueilleuse, dans le désir ss dte d'affirmer une originalité et une supériorité nationale dont on n'est pas très sûr, ou même dont on voudrait ne pas douter. "Como mexico no hay dos". Ce refus de connaître, ce refus de s'assimiler la culture des autres, de parler avec eux, ressemble peut être aussi à l'attitude du "provincial" gêné, avec des complexes qui le rendent hostile, le mettent sur la défensive... devant ceux qu'il craint supérieurs. Le contact direct avec les autres est pourtant un tel enrichissement ! Ce n'est là ss doute qu'une poussée de nationalisme, qui veut affirmer sa personnalité. Mais cela peut maintenir l'élite puissante en marge des grands courants universels (comme l'Espagne même, d'ailleurs)

Les réfugiés espagnols (dont "l'Orteguisme" s'adapte bien à cette tendance par sa recherche de l'originalité essentielle, du "ser") sont malgré tout +- légèrement teintés d'universalisme, surtout par comparaison avec les mexicains . Plus d'ailleurs dans les générations anciennes que dans les plus jeunes (Idem pour mexicains plus âgés). Ex. J. [Gars ?] et bcp. + Indalecio Prieto.

= Casson me parle de la grande "conspiration contre la France", tendance assez générale aujourd'hui, pour nous discuter notre preeminence intellectuelle et artistique, faire croire qu' elle appartient au passé, nous préférer la violence nordique, allemande, américaine (tt cela fort peu délicat et latin)

Humanisme autre tendances ici : matin mesa rededonda d'histoire + [Davalos ?]