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comme une petite foire de Tepalzingo, moins variée toutefois. Beaucoup de "restaurants" de poupée où les pauvres gens font une sorte de dinette, 1 poulet ou 1 guajalote attachés par la patte pour les jours qui suivent Dans la rivière de montagne aux eaux claires et abondantes quantité de gens se baignent, notamment beaucoup de femmes, en "trajos menores", certaines comme à part (raisons religieuses ?) Au delà des campements de tentes de pélerins. Aux arbres des ex votos faits de bouts de chiffons... A Tenancingo, une petite fille si maigre qu'elle parait une petite vieille...
14 mai voyage à Manzanillo . Tt le long de la route je remarque qu'il y a bien peu de montagnes qui ne portent pas de traces de défrichements et de culture, actuelles ou peu anciennes. Le pays semble, au fond, surpeuplé ou presque par rapport à ses ressources. J'observe le phénomène exactement contraire au delà de Colima (100 kms) c'est à dire dans les "tierras calientes" : gorges et montagnes boisées pas plus inhospitalières que les autres (et même d'aspect plus touffu) absolument vides et vierges. Puis des plaines à peine peuplées , avec une brousse relativement humides, est même localement des bois de palmiers sauvages. [En réalité au retour, époque des feux de brousse avt cultures, je note que les feux st relativt. nombreux - et que la terre n'est pas toujours aussi vierge]
- Playa de Santiago. Plage de las Hadas de Tesoro. bcp de poisson
35° à la porte de l'hotel au milieu de la journée 30° le soir vers 9h.
La péninsule se construit peu à peu.
- Manuel fait spontanémt son 1er dessin d'après nature. (la baie vue du bungalow)
Les contraste dans cette splendide baie de Mzanillo (qui représentait un site naturel unique sur la ville avant la fondation, qui a gâché la lagune surtout) belles architectures sur péninsule ; pouillerie ds le village de l'ex-hacienda, et ds certains quartiers de la ville : circulation intense de camions , en particulier de cx qui amènent le minerai de mganèse d'Autlan (par des chemins impossibles !). Un type du village me parle : milliers de palmiers à "coquitos de aceito", plus rustique que les cocotiers "de agua" , rapportant pourtant 20-25 pesos par arbre mais les membres de l'ejido ne font rien, se contentant de vendrer la récoltede coquitos sur pieds ; les maisons st misérables bien qu'il y ait quelque 8 ha. de plaine par famille. Les "cerros" ne st. pas cultivés (bien qu'ils puissent produire "de temporal" durant 7 ou 8 ans - après quoi il faut les laisser se reposer qqs. années).
[? de "tepalcates" vers Salahua, le tesoro, las hadas
le 25 mai. voyage de retour. La plaine de [Tecoman?], avec
nbreuses plantations de cocotiers et bananiers , + du coton.
Le pueblo se développe (bar hotel très moderne).
Les feux de brousse, nbreux vers les "cerros" surtout.
En montant on rencontre la plaine
Le pays est relativt + cultivé en altitude.