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124 abondait, mais les glaces étaient si nombreuses que la pêche en était comme paralysée. Le froid aussi était terrible, et d'effroyables bourrasques de neige soufflaient à tout moment. Pendant une de ces bourrasques, la bordée de quart refusa d'aller serrer les voiles « en haut ». Le lieutenant, un normand du nom de [blanc] voulut prêcher d'exemple. Il monta : la bordée le suivit, mais la situation n'était pas tenable : il fallut redescendre. Le lieutenant cependant s'entêtait. Tout à coup on le vit là haut qui ne bougeait plus. On le héla : il ne répondit point : le capitaine ordonna d'aller y voir. Le lieutenant était mort de froid.

Quand le capitaine vit cela, il décida de ne pas prolonger la campagne et signala à l'autre navire, dont on était séparé par des glaces qu'il renonçait à poursuivre la pêche. Mais le capitaine français ne voulait pas entendre de cette oreille.

— Pourquoi voulez-vous donc partir ? demanda t-il.

— Parce que mes hommes meurent de froid.

— Froid ? Il ne fait pas froid.

Et pour le prouver, le capitaine français vint à bord de l'autre baleinier « en