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"1er juin. J'ai eu Bernard et du Corrézou comme vicaires généraux, M. Fleiter reste, il sera utile et de moins en moins nécessaire. "Il faut maintenant attaquer le taureau par les cornes. Les hommes néfastes, quand ils sont po semblent difficiles à faire disparaître. Déjà la mort en a rayé un. S'il fût resté, l'administration eût été impossible ; il en reste encore un, il sera dur à reduire. Il le faut. Sous peine de me contenter de signer des décisions, et de me transformer comme mon prédécesseur en évêque voyageur, ou en évêque de parade comme dit Monseigneur [LeLumen ?]..."
Ogée. - D'après Ogée, il y avait de son temps à Bulat un petit collège régenté par des prêtres.
Vendredi soir, 20 février 99. Chez M. [Jones ?]. - Presque tous les poètes de Galles ont un nom de guerre bardique. Ainsi l'auteur de certains interlude s'appelle Thomas Edwards de son vrai nom, de son nom bardique [Tum O'r Nant ?] qui est le seul sous lequel il soit connu (Nant : ruisseau). Il naquit en 1739 et mourut en 1810. "L'interlude " Les trois forts du monde Tri chryfion byd. c'est-à-dire "L'Amour, la Pauvreté, la Mort". Le 2nd interlude, c'est Conférence logique entre Plaisir et Peine [Pliser a ?] Gofid. Le 3e c'est l'Avarice et le Prodigalité.
Le pardon, dans le pays de Galles, Gwylmabsant, (fête de saint)
Le mot blague (argot français / se trouve aussi par extraordinaire dans ce dernier interlude "toi et la blague (blag). A la fin de cette pièce, c'est l'amour parfait qui conclut en