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coucher du soleil), il est 13h. je file immédiatement. A la sortie deux types genre forgerons qui me demandent de les laisser à 15 km de là, chargement des rouleaux de fils de cuivre. Dunes mauvaises slalom. Crabot je freine dur. La voiture en prend un coup. Mes types finalement trouvent le sujet de leurs travaux. C'est un poteau électrique heurté par un véhicule et fils à terre. je repars seul, dunes atroces crabot, montées descentes je m'ensable malgré crabot échelles deux fois.j'emmène un petit

berger émerveillé des Kel Ounane.

Arrivée sur l'aérodrome de T. vers 2h30 route goudronnée rutilante A 15h à l'hôtel ; fourbu. On se précipite, m'interroge, bon verre, gros apparat. J'ai faim demande d'abord à manger Excellent repas je dévore. Pas de repas sérieux depuis 3 jours. Puis [illisible] eau chaude et [illisible]. Installé paillotte sur mon lit camp. Musique douce ambiance occidentale. Les noirs jubilent de plaisir font des ronds de jambe. Il y en a de toute espèce, ils viennent de Bamako spécialement pour cela. Prend une douche me repose un peu fait un tour dans marché à pied. Décidément T. n'a guère de caractère à part ses maisons à étage et ses portes décorées de fer blanc aux heurtoirs attachés. Je fais la connaissance de deux hotesses Meriem Bah et Fatoumatou dite Koumba sa nièce. Meriem est Peulh intelligente et douce. Elle connait bien son métier. Dîner couscous méchoui, je n'ai pas faim Puis soirée théâtral au Foyer d'[illisible] populaire