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[Introduction à l'article, texte du journal tronqué ne permettant pas de transcription correcte]
Au delà des aspects politiques ou d'information de son voyage, il en était revenu, écrira-t-il plus tard, "brûlant du désir d'agir" et avec la conviction qu'il fallait changer de politique à l'égard de ces peuples colonisés, le jeune François Mitterrand avait, dès cette époque, manifesté intérêt et et passion pour ces pays et ces peuples. C'est ainsi que dans l'un de ses ouvrages "Ma part de vérité", il se rappelle l'Afrique d'alors, "l'Afrique au pillage, celle des hommes humiliés, résignés", et que, sur un autre registre, il chante le fleuve Niger dont "le soleil ni la nuit ne peuvent pénétrer la face lisse".
Une longue histoire En juillet 1950, quelques mois seulement après son retour d'Afrique, François Mitterrand entre au cabinet de René Pleven comme ministre de la France d'Outre-Mer. Il va alors s'attacher à traduire dans l'action sa volonté de discuter et de négocier avec les dirigeants du nationalisme africain ...
[texte du journal tronqué ne permettant pas une transcription correcte]