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b) Perles de verre Il y en a en verre translucide et les autres en pâte de verre. Ces dernières sont les plus malmenées par le temps.
En tout, 10 perles translucides (dont 1 brisée en 3 fragments) 2 fragments d’allongées (N°1 et un petit fragment) et 8 perles minuscules, de couleur bleu-vert (2 à 7) à bleu.
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La plus longue (N°1) est bleu violacé. L’on dirait des imitations de pierres d’aigris. Mais celle-ci n’est pas verdâtre par transparence.
Les perles de pâte de verre sont guère plus nombreuses. Très oxydées, on n’en reconnaît plus en général la couleur
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Les N°1, 2, 3 sont les moins reconnaissables : la N°1 est noirâtre et 2 et 3 de couleur indéfinissable. Le 2 avait une forme de rosace à 7 pétales.
Les 4, 5, 6 sont de pâte vert pâle (le 5 assez bien conservé). Les 7 et 8 sont noirâtres et le 9 à irisations vertes. En outre, quelques fragments à irisations.
Autre verre : il y a quelques fragments de verre et pâte de verre. Le plus grand (N°10) est un fragment
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de récipient (?) irisé mais presque opaque, très fin, trouvé dans la Ch. 1. Les autres sont des morceaux épars, méconnaissables, provenant peut-être même d’un incendie de la maison (2 fragments petits, noirs 4 verts et 1 transparent. c) Oeuf d’autruche. C’est la perle classique que l’on retrouve dès le néolithique sur les gisements de l’Aouker : 9 en tout (11, 12, 13)
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d) Test de coquillage. Il y en a 3 en tout, dont le N°14 est assez abîmé.
Gr. nat.