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XXI-2, XXI-3, XXI-4) surmontés d'une couche de loess-lehm, ancien sol consolidé. C'est cette dernière couche qui protège la précédente et qui, à Toukoto, permettait la formation de cheminées des fées. M. Aubert, que je viens de voir, me dit reconnaître le loess aux canalicules laissés par les plantes, au moment de sa formation. Le sol [s'exhaussait] en effet au fur et à mesure. Le lehm se diffère du loess car il contient plus d'argile et moins de calcaire. Il spécifie aussi que la latérite vraie (contenant de l'alumine) a besoin pour se former de +1200 mm d'eau par an. Au dessous, il y a seulement ferritisation
Nous suivons la vallée du Ferlo, marquée faiblement sur le terrain, par une légère dépression et des arbres plus fournis (Photo XXI-5)
Arrivée à Linguère. Nous ne restons pas trop longtemps, car le plus mauvais reste à faire.
La piste est épouvantable sur quelques kilomètres, à cause du sable... Heureusement que Gilbert est bon conducteur ! Coucher à Louga.
Vu au passage la carrière du D.N. à Darha. Latérite et marne calcaire (?) melangés épouvantablement. Je n'y comprends rien.