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est objet ; il y aurait sans doute quelques sacrifices primaires à faire pour cette restauration ; mais est-il possible d'édifier et de réparer sans quelques dépenses ? En ne considérant d'ailleurs l'Eglise de St-Jean que comme un simple objet d'art, le Gouvernement a prescrit, si je me trompe des disposition pour celà.
Il y a [illisible] [surplus?], un moyen simple d'éviter au Gouvernement et même à la Municipalité de Poitiers [illisible] pour la restauration de St-Jean : cette petite église a été considérée, pour [illisible], depuis 20 ans comme une épave, tout on a usé et abusé par diverses dispositions précaires, qui lui ont été plus ou moins préjudiciable ; cependant des motifs religieux et les intention du gouvernement se réunissent pour que les édifices qui ont servi au Culte ([illisible] était paroisse) et qui pourtant encore y était affectés, soient remis à l'autorité épiscopale. M. l'Evêque de Poitiers pourrait attacher cet édifice au services de son église Cathédrale ; la fabrique resterait chargée de le restaurer et de l'entretenir ; cette disposition serait d'autant plus convenable que les chapitres de St-Pierre ne sait ou placer divers objets du service divin, tels que Boiserie et ornement, de catafalque. [Est?] nécessaire dans les cérémonies publiques ; enfin l'église de St-Jean, [remise?] sous le [maire?] ecclésiastique, restaurerait par cette sage mesure ; au ancienne destination, celle de servir la religion, dont elle est incontestablement l'un des premiers monuments dans la Gaule."
20 Sept. 1821