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-placé par celui des terrassements, dont les résultats sont [illisible] généralement beaucoup plus complets. C'est, en effet, grâce à ces terrassements qu'il nous a été possible, de connaitre tous les murs des chambres A4, A5 et A12 et de constater qu'ils étaient presqu'entièrement rabaissés ; ils nous ont aussi fait retrouver le prolongement des grosses fondations du mur de l'enceinte Romaine G, et constater qu'à 22m50 du mur des cheminées, la plupart des grosses pierres, dont ces fondations étaient primitivement composées, avaient été enlevées et utilisées, ce semble, dans la construction du Donjon du XIe siècle, car : d'une part, nous avons retrouvé un plan incliné, qui partait du pied des fondations de ce mur d'enceinte et aboutissait dans la direction de la tour Sud-Ouest du Donjon du XIVe siècle, et qu'à son point de départ il existait de nombreuses retailles de pierres ; et d'autre part, on a reconnu, pendant la restauration de la tour Sud-Est du Donjon qui vient d'être terminée, que parmi ses anciens matériaux de grand-appareil, il s'en trouvait dont la nature était semblable à celle des pierres employées dans les fondations du mur d'enceinte. Ce sont également ces terrassements qui nous on démontré : -1° que toutes les chambres avaient les mêmes dimensions intérieures, à savoir ; 3m95 de largeur et 6m25 de profondeur, déduction faite cependant des épaisseurs des murs qui sont : de 0m60 pour ceux de fonds D ; de 0m52 pour ceux de refend G ; de 0m53 pour ceux de face B, sur lesquels reposaient les marches ; 2° que l'épaisseur de la couche d'incendie n'était pas égale, à cause de l'inégalité