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208 pui un défilé de 60 ou 80 "charros" à cheval certains portant une jeune fille en croupe. Pas mal de blonds le "[tesorero?]" de la municipalité de Cecilio Navazzo [Castellenicas?] nous montre très aimablt les archives. Il nous amène voir les "coleaderos", non loin du bourg, où les " charros" se montrent beaucoup plus habiles qu'à Mexico à renverser les taureaux par la queue. Ce sont des propriétaires rancheros aisés (les Franco par ex.) - alors que d'autres, avec leur qqs. hectares, n'ont des rentrées annuelles que de 1500 pesos à peine. Cette très petite propté. de terres pauvres, vient, me dit-on des partages entre enfants.

- Départ pr Arandas par une campagne très peu accidentée, coupée parfois de murettes de pierres sèches très soignées, avec qqs. ranchos d'adobes mêlés de paille (style espagnol). Aux approches du Cerro Gordo (hauteurs un peu plus boisés) le rancho "de Cuarto" a deux sortes de tours carrées d'adobes (qui me rappellent un Maroc moins coloré) et qqs. tours rondes fortifiées. Sn Ignacio Co. Gordo, ancienne hacienda, aujourd'hui petit village peu différt des autres. non loin