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plus que cordiales, veritablement amicales avec le C. de la Croix. [Illisible] ne l’avait pas cependant adopté du [illisible] « son jésuite » comme il disait lui-même. Je racontais vos mésaventures à la Sorbonne en 1878 x 1879. Votre introduction chez lui x le soir à la séance l’épisode du « petit curé à grande barbe qui c’est assis là haut » puis votre amitié, vos voyages ensemble. Et je terminais en disant que ce serait faire connaitre un curieux coté du caractère de Quicherat que de publier des fragments de sa correspondance avec vous. Quand cela sera publié, il y en aura naturellement des exemplaires à votre disposition. Je ne sais si vous vous rappelez le compte rendu de votre aventure de la Sorbonne (1882) que j’ai fait à la société de Niort. Cela doit paraitre dans le Bulletin de la société, ces jours-ci. J’en ai demandé un tirage à part, afin de pouvoir faire connaitre à un certain nombre de personnes qui ne sont ni des Antiquaires de Poitiers, ni de ceux de Niort x qui cependant s’intéressent à vos decouvertes. Ces détails qui sont de l’histoire archéologique du XIXe siècle x qui en trouvent nulle part ailleurs aussi détaillés, aussi précis, aussi exact. On ne peut tirer à part que 50
Transcrit par CORDEAU Dorine