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ne'st pas un but et que le simple accomplissement du travail est une satisfaction entière et pleine.

Le pari, avec ce qu'il comporte de maîtrisable et d'aléatoire, c'est, si toutefois comme je le crois, il existe la part de luxe du métier. Mais cette part, je ne la connais pas comme le reste et en regardant René mettre son filet à l'eau je prends la, très certainement pas juste, mesure de ce qui me manque.

J'entrevois du même coup ce qui me reste à acquérir et ce que je n'acquiérerai jamais. Pas d'amertume mais un peu d'ironie tout de même vis à vis de moi-même et de cette situation d'observateur, pas le moins du monde participant en fin de compte. Ironie à laquelle par écho les recommandations répettées de René "Surtout ne touchez à rien" Pas de panIque, j'en suis si loin.

Dire que j'en souffre, c'est un peu