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34 bien que nous refusions leurs scarabées, leurs amulettes et toutes leurs antiquités authentiques ou non. J'ai parlé dans mon autre carnet de notre visite au temple de Séthi. Il est en somme presque enveloppé dans le village d'El Araba et le désert ne commence qu'au delà, le désert avec la haute montagne monumentale qui se dresse vers le Sud en un haut promontoire abrupte et dont les replis, tout le long de la chaine, laisse couler de véritables torrents de sable doré qui s'épand en nappes à leur base. Cet après-midi, ce sable a dû voler dans le vent fou que nous avons expérimenté sur le Nil, et les Cookistes de l'Arabia n'auront pas eu beau temps pr leur visite. Presque toutes les images de ce temple sont peintes de couleurs any vives, et, à cet égard, aucun autre temple ne m'a donné une impression si gaie, en quelque sorte, à l'exception de la tombe de Noble - le N° 52 - que nous avons visitée lors de notre premier passage dans la plaine de Thèbes, après notre visite à Mrs. Lythgoe. Les parties nues des corps avaient reçu une patine rouge-brun, presque naturelle, la couleur de la peau Egyptienne quand il n'y a pas eu de croisement de sang noir. - J'ai parlé des 7 chapelles : dans celle de Ptah, Saleh m'avoua qu'il était un peu gêné d'y faire entrer les dames et s’efforçait de les en faire sortir au plus vite, à cause du phallus du Dieu de la procréation que l'artiste faisait jaillir de son flanc, mais