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157 Port-Blanc, ce mardi soir, 12 septembre 1911. - Dans ma chambre. - La mort somptueuse des fougères qui se flétrissent en beauté. - C'est la pluie qui se charge de débarbouiller l'Irlande. - " Quand la lune mollira (c'est à dire décroîtra et se lèvera plus tard) ", nous disait cette après-midi le père Mainguy chez qui je m'étais arrêté pour boire de l'eau tirée du puits par la grande Catiche.

Vendredi Ce 15 7bre 1911 - Venu chez Mari Von Vraz pour l'entendre chanter :

An ôtro Gernewe

An Otro Gernewe hen eus gret Ar pez na rache den a bed (bis) Nag eur lestr newe hen eus gret En [jardrin he dad ?] war eur garrek En euz gret eul lestr newe Na da gass a brezant d'ar Roue. An otro a Gernewe a lere D'he dad ha d'he vamm eun de oe : - Ma zad, ma mamm, mar am c'héret, Gant al lestr newe me na n'in ket Rag aon am eus na ven beuet. Rag ma c'halonik a lar din Mar gan gant al lestr beuet a vin.