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103 la date de la partie la plus ancienne du manoir, à laquelle les Saliou ont ajouté plus tard, dans le courant du XIXe siècle le grand pavillon qui est au levant. - Je trouve chez lui Albert et Eugénie Pazron. Albert a maintenant, comme moi, la barbe blanche. Où sont nos anciennes promenades à cheval, sur le bai Canari et sur la grande Moute, au Manoir du Guermèl ou aux grèves de Treztèl, le jour des courses, ou encore chez les Saliou de Camlez. Eugénie, comme on parle couleuvres et souris me cite ce proverbe : Si taupe voyait, Si sourd entendait, L'homme lus ne vivrait. Saliou me fait visiter les chambres. Dans l'une d'elles le portrait d'un Du Créhu, en cuirasse, - un ancêtre de Mme Saliou. A remarquer encore une pendule dorée, du fameux Rhomas de Combez, que Saliou qualifie de nihiliste : il n'existe, paraît-il, que trois spécimens de ce modèle à balancier en forme de balance, au-dessus