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Or tout cela est plus ou moins du loess, et l'érosion y découpe des formes verticales absolument typiques. J'ai surtout étudié le coin derrière, en contrebas, du cimetière européen

[photo] VII-2 Au premier plan, fragments de terre rouge consolidée et industrie. Au fond, arbres du cimetière

J'ai la chance de tomber sur une petite exploitation indigène de loess (sans doute pour faire la poterie) où l'on voit nettement la superposition des diverses couches. Il y a là un aplomb de 5 m environ, qui se décompose comme suit, du haut en bas :

I- Terre rouge fine (loessique), avec quelques fragments durcis : 2 m

2- Terre rouge consolidée (loess consolidé) niveau qui fournit ailleurs l’industrie P.S (0 m 40)

3- Sable rouge loessique ( 2 m)

4- Gros sable avec gravillons latéritiques ( 0 m 50 ) non éolien

5- Loess jaune-brun très fin.

Quel dommage qu'il n'y ait pas un puits là pour savoir ce qu'il y a dessous !