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nous en tirons aux échelles. Avec nous Aji grand gaillard sympathique que je ne reconnaissais pas, Sid Ahmed et un troisième servant de guide. Entre les dunes des espaces ou le sol stérile affleure, des objets lithique, pas de ptes de flèches, mais un objet oblond bien poli que je ramasse, je pense qu'il faudra revenir prospecter par là un jour. Revenons en passant encore par les campements d'Aji Donke, Dag Litni. Leur demandons un tindé pour cet après-midi Tous d'accord.

Requilla est mariée avec un certain Raouieli qui traine une patte et n'a pas l'air de jouir de l'estime de ses concitoyens. Elle forme un groupe de 2 tentes à quelques 300 m des tentes de Sid Ahmed lui même situé à 100 m de la tente d'Akarazonem. Requilla demande a percevoir avec les femmes qui l'accompagne un salaire à part de celles des dag Litni.

Retour au camp où le taleb nous a préparé une bonne chorba avec carottes et piment médicament à tt le monde. Séance qui nous occupe bcp. Après le repas discussion et départ vers 14h chez les Dag Litni. Il fait chaud mais raisonnablement chez Sakina imzad (celui de Tehit, morte il y a deux mois). Après l'imzad (3/4 d'heure monotone, sans chant d'accompagnement), tindé. Une fille d'Akarazonem ag Alonki bien mignonne se perche d'un côté loin des tensions de la peau, de l'autre Khadidja oult Cheikh ag Silla qui bien qu'elle ait un œil à la pie me dévore des yeux avec des sourires prometteurs. Le tindé dure au moins 2 heures et demie il s'échauffe assez bien des femmes arrivent dedans côté, Henri et moi travaillons comme des automates à l'enregistrement, aux photos, aux films.