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Tajmout Le 18 mai 1935 Médecine Maladie du nombril (suite)
3 / Le malade, en l'occurence Mohamed s'étend sur le dos Le soigneur projette quelques gouttes froides sur le vendre du malade puis il y frotte le savon. Avec ses deux mains tantôt ouvertes ou fermées il fait un massage assez violent ; son poing disparait parfois dans le ventre du patient, c'est un véritable brassage. Puis Guelouh s'accrocha au bras droit de Nahali avec ses deux mains et Mahali tira violemment Guelouh en avant tout en appuyat sur le nombril du malade afin de le remettre en place.