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Ce terrain dependait de la paroisse de St Saturnin, un chemin qui le bordait à gauche conduisait à l'église suburbaine de ce nom qui existait déjà au onzième siècle. Ce chemin, sous le [illisible] désigné dans un acte sous le nom de chemin de St Cyprien à Buxerolles, se prolongeait jusqu'à l'abbaye de St Cyprien et l'hypogée ne touchait pas immédiatement ce chemin, c'est par son chevet si je puis donner ce nom à la partie du petit caveau opposé à l'entrée, qu'il en était le plus rapproché et la descente en courbe pour y accéder était à l'opposite et dissimulée dans les rang des urnes funéraires. Quel nom portait le tenement dont faisait partie l'hypogée. De quelle juridiction dependait-il au moyen age : les recherches faites par le R. P. de la Croix, par M. Bricault de Verneuil et Richard, n'ont point éclairé completement ces deux questions. Présentement le cadastre comprend sous le nom de la Gaule le [terrain?] lieu où est l'hypogée, à gauche du chemin des Martyrs, allant de St Saturnin à Montbernage, nommé dans cette partie chemin, et le terrain situé à droite du même chemin que les titres designe sous le nom de Chiron-Martyrs. Ce dernier relevait de l'abbaye de la Trinité à raison du fief du Breuil l'abbesse et de la [Crocerie?]. L'emplacement de l'hypogée au contraire parait avoir fait partie de l'ancien champ de foire de la pierre levée friche restée domaniale, [illisible], s'étendant jusqu'au lieu de la Justice. Ancienne grande Justice de Poitiers entre les terres de la Trinité et celles de Montierneuf (1) : il avait aussi raison d'un petit terroir formant la [donation? datation?] de la chapelle de la Madeleine, qui était desservie dans l'église Ste Radegonde, et d'une petite propriété particulière, nommée le Champ Sibiles, sur laqu'elle un nommé Etienne Sibilles avait, au commencement du XVe siècle, fait élever un chapelle.