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n'avait encorermis au jour que des sépultures payennes : "Mon Père, c'est ici les champ des Martyrs; voici le chemin des Martyrs, il y a là une chapelle" - Est-ce dis-je, une voix humaine qui donna l'avertissement, qui désigna la place où il fallait fouiller ? Ou bien, comme Grégoire de Tours et tous les agrographes des premiers siècles, en donnant de si nombreux exemples, ne s'agissait-il pas dans cette inscription d'une révélation surnaturelle, d'une vision en songe (monetus in somnio) ou bien encore qu'un animal ou un oiseau dont la persistance à gratter la terre au dessus des vénérables restes des suppliciés, les a fait découvrir; ou même l'un des martyrs, n'est il point sorti de sa tombe pour raconter sa passion et celle de ses compagnon et demander pour ses restes et les leurs, les honneurs, et les [préservation?] que l'Eglise et la sainte Liturgie promettent aux corps des amis de Dieu (1)? - Cette hypothèses d'un avertissement surnaturel n'a pas échappé à M. Barbier de Montault (2) (3) (Document n°XXVI 45, daté du 3 octobre 1885) (mais sortons du champ des conjectures où je viens de m'attarder) Le dépot successif des corps saints dans les cryptes de Mellebaudes motiva l'apport de grandes Copsa pour les recevoir. "fragments de deux, peut-être de ttrois de ces copsae, trops courtes pour des squelettes entiers, mais pouvant contenir chacune un grand nombre de ceux des ossements qui, au