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1894 - Le 9 aout à 8 1/2 le P. supérieur vient me trouver pour me dire que Monseigneur l'avait fait demander à mon sujet; - qu'il fallait enlever le cadenas du temple st Jean et laisser les Pèlerins nombreux (5.000) pénétrer dans l’édifice avec le Concierge de l’Évêché. - le R.P. Supérieur défendit ma cause avec connaissance et grande énergie.Je verrai le père, dit-il et demain je reviendrai vous donner les renseignement de l'entretient que j'aurai à ce sujet avec le P. de la Croix - = Après entretien avec le R.Père, j'acceptai d'enlever le cadena, et de laisser pénétrer la foule dans mon atelier... et j'ajoutai que j'allais louer un terrain rue de la Monnaie, y faire un atelier et y faire transporter les 112 moulages moyennant une dépense d'environ 2.800fr. - Il approuva ma décision = Le 10 Aout. - à l’heure dite le R.P se rendit l’évêché, et en présence de Sa Grandeur et de de [Varnille?], annonça que le cadenas serais enlevé et tous les objets de l’atelier transportés, avant samedi dans un nouvel atelier. Sur ce dire [illisible] << il ne faut rien enlever de l'atelier, ce serait un évènement et cherchant dans le public la cause de ce fait ou récriminerai contre l'Evéché (ainsi [parlaient?] Mgr et le [Varnille?]) Mon supérieur répliqua : << la clef, c'est réglé, mais, ne voulant