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Continuation des notes sur la vie bretonne Veillée du 23 octobre 1905, avec Marie Cinthe Toulouzan. Elle s'est approchée du feu et je l'entends qui dit :

- en ôd zo coat wil ar bewien.

Et elle explique :

- gômon.

Elle me dit que les maisons que je possède furent achetées à Mme Toulouzan par Pitterley. C'est lui qui fit construire la maison où est la salle à manger. C'était un pensionnaire du gouvernement, me dit-elle. Il avait avec lui un neveu et une nièce, enfants d'une sœur à lui. Il tint ici toute espèce de commerce : épicerie, café, même de la farine. Quand ses neveu et nièce il partit avec eux pour les villes et vendit à [Saintilan ?]. Les deux autres maisons furent bâties par le père de Marie-Cinthe.

La gwerz de l'homme enragé. Elle ne la sait pas, mais elle l'a entendue. La mère voulait marier la jeune fille malgré à Ewan Tanguy. Il avait la rage et mordit sa jeune femme le jour même des noces, ainsi que son frère qui avait été fait prêtre le même jour. Celui-ci eut cependant le temps de leur donner l'absolution, puis on les étouffa tous trois entre deux matelas.

Disput an Tad missionner hag an danserez

Zilaouet eur c'hantik familier Graet gant eun tad misioner [hag?] eur plac'h iaouanc dimeus ar vro O retorn deus an ebato

an tad missionner Orubl [eman] plachic monden Orubl e just da retablen (une coiffe) Me zo retorn deus ar ster Bet o recev corf da grouer