4:46:3782

De Transcrire
Révision datée du 8 novembre 2018 à 18:19 par Yannlb (discussion | contributions)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Sauter à la navigation Sauter à la recherche

46e La pièce commence par un monologue de Pipi Louarn que ses parents ont laissé se débrouiller tout seul et qui va entreprendre le combat pour la vie : il est bien armé :

Tano ec'h e ma fri, ma diouskouarn glew scler. Ma lagad n'ê ket picous, ma diar n'int quet ber

Il ne craint pas le « combat » (combattin) : il a ses dents et ses griffes pour rendre chère la partie.

Clewet meus cousgoude gant ma mamm ha ma zad Pere ho deus collet meur a vlew er gombat Penos eo mad evitan an oll drouc rencontcho ha nem denn mar geller, dre ar finesséo. Decidet mad ec'hon, pe n'on [lesk?] bars ma roll Da laquet en pratiq ho avijo mad holl. Ma bouëllou zo cleus hag ar ra din drebon Na vo quet o tiscouri e torrin ma naon..

Et le voila en campagne. Il aborde d'abord le coq : fable connue. Le coq, avant de participer à la réconciliation universelle attend l'arrivée de deux chiens qui viennent sans doute l'annoncer de leur côté. Et le renard de déguerpir.

[écrit à l'envers : 139]