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31 après d'en faire une à Yann an Sker » Ce fur l'abbé de Kermoalquin, mort depuis en 1870, à [?] qui bénit la crois de Yann Ansker. — Il a fait aussi le piédestal de la statue de [Jusmier?] à Agen. — Il a construit 800 calvaires, son fils en a élevé environ 700.
Il était caustique et satirique à l'occasion : c'est ainsi qu'il fit une chanson mordante à l'adresse de Sébastopol, surnom de l'abbé Le Meur, de Plouaret, qu'il appelait Mes he barrous, la honte de sa paroisse.
A table, M. Hernot me [illisible] [au à?] l'idylle matrimoniale de son père des détails qu'il avait d'abord omis. Comment, par exemple, Jeane Le Son (Sann ?) fille de la Jugarden, s'en alla de chez elle, pendant quelque temps, aider la jeune Mme [Lhévéder?], femme du notaire de Loguivy-Plougras, et encore tout à fait inexpérimentée, à tenir son ménage, y remplissant [illisible] les fonctions d'une servante que d'une « officieuse », comme on disait sous la Révolution. Le notaire fut de l'avis du recteur et conseilla également à la fille de Jurgardez Coz d'épouser le piqueur de pierres. Elle resta toujours en relations aves les Lhevéder, si bien que, six ou sept ans plus tard, alors que Hernot s'était