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droite et à gauche de ces pilastres se trouvaient les embrasures formant fenêtres et rotondes ; elles étaient bordées sur leurs faces par des chambranles avec bases et chapiteaux et sur ces derniers s’élevaient les archivoltes en plein cintre. Toute la partie architecturale reposait sur un stylobate qui régnait tout autour de la salle et suivait les formes des embrasures produites par les rotondes et par les fenêtres. La cimaise qui le couronnait recevait les innombrables petites poterie faites autour et qui, ce me semble, était destinée à l’éclairage artificiel. (j’y reviendrai dans un travail d’ensemble.) quand à la frise il ne m’a encore été loisible de la reconstituer ; mais je pense pouvoir le faire en mettant en ordre les 2 mètres cubes de débris de marbres et de pièces d’ornementation qui ne sont pas classés. Tous les [formats ?] ou parties plates laissées libres par la décoration architecturale étaient garnies de peinture à fresques et encadrées par des bordures et des filets de couleurs variées. Les 400 échantillons que j’en possède ne sont pas classés mais ils fournissent dès maintenant la preuve qu’ils ne possèdent aucun sujet, mais seulement une ornementation végétale. La décoration des 6 niches ou rotondes offrait un intérêt spécial en ce que ces peintures étaient parsemées de coquillages en relief, de nacre, de mosaïques même et que tout se trouvait coordonné avec régularité, bizarrerie et grand goût, et