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Ces fondations voutées offrent un intérêt spécial et leur analyse peut être de quelque utilité pour les architectes modernes. Nous remarquons que les murs parallèles de 3m70 et de 3m ont été construits avec le plus grand soin, mais complètement indépendant des murs destinés à relier leurs extrémités, et de ceux de refend qui supportent les 6 voutes ; les premiers reposent sur le rocher ainsi que ceux des extrémités ; les second prennent base sur l’argile ; et tous les 7 n’ont aucune liaison avec les deux autres afin d’éviter sans doute que les tassements qui se seraient produits par les voutes ne [s’exercent] sur les murs de façade comme cela arrive constamment de nos jours. Tous les appareils (recticulatum) de ces murs sont de petites dimensions de 3 à 4 pouces carrés de face et forment pour la plupart un volume presque cube, parce que les Romains à cette époque, comme je le prouverai ailleurs, n’étaient pas arrivé aux bancs de grandes dimensions. Mais on remarque qu’à toutes les extrémités de ces murs les petits appareils sont remplacés à chaque rang, dans toute la hauteur par 2, 3 ou 4 moellons de même épaisseur, parfaitement coupés, mais de 18, 20, 24 et même 30 centimètres de longueur. Ils été destinés à recevoir les règles et cordeaux nécessaire à dresser régulièrement la face des murs, car de cette rectitude devait dépendre celle des étages supérieurs. (1)