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Dans tous les cas, conformément aux règlements
ecclésiastiques en vigueur, l'érection d’une croix sur le terrain de
la crypte dû précéder l'établissement de l'oratoire privé. C'était le prélude nécessaire de toute bénédiction de Chapelle où devait se célébrer le culte divin.
Le linteau de la porté était soutenu par deux pierres d'une largeur de centimètres encadrées dans des étroits montant aussi en pierre, couvert d'inscriptions dont je ne m' occuperai pas. Ce ne sont en effet que des sentences pieuses sur des réflexions banales sur la dépravation grandissante du siècle. Tout autre l'est l'importance du texte tracé sur la seule des deux pierres formant paumeaux, qui porte une inscription. Par sa forme, cette inscription est un acte testamentaire. Mellebaude y institue le petit caveau (spéloncolam) légataire de sa dépouille mortelle. C'est lui qui l'a fait en vue de sa sépulture quoiqu'indigne de reposer et le sarcophage qui doit recevoir ses restes y est déjà couché. Ubi jacit indigni sepultura mea. Il l'a fait