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dans la forêt de Châtellerault et à Châtellerault. L'existence de ces deux gués donnerait à penser qu'ils étaient reliés, sur la rive droite de la Boivre et au pied des coteaux Ouest de Limonum par un chemin qui, aujourd'hui remplacé par les boulevards Jeanne d'Arc, du Grand-Cerf, de la Gare et de Pont-Achard, aurait abouti au chemin de la Tranchée. Le quatrième passage, dot onapercoit quelques traces, s'effectuait au moyen d'un gué qui se trouvait dans le Clain et en amont du Pont de Rochereuil ; il servait de [tête ?] à un chemin qui longeait presque parallèlement la rive droite de cette rivière et touchait Fontaine, Verre, le dolmen d'Aillé, le menhir et la motte de la Basse-Flotte, puis traversait le Clain à Cenon et suivait la rive gauche de la Vienne jusqu'à Ingrandes. Le cinquième passage, aujourd'hui invisible, existe à l'endroit où se sait actuellement le Pont-Joubert, et consistait aussi en un gué sur lequel furent assises les fondations de ce pont et celles des autres ponts qui le précédèrent ; il accédait au milieu d'un chemin qui, construit entre la rive droite du Clain et les coteaux abruptes du plateau des Dunes, se divisait en deux branches dont les longueurs étaient presqu'égales : la branche de gauche passait dans le bas de Monternage, tournait à droite au pied de la Croix,