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Poitiers, 28 juin 1890 Cher ami, Merci de votre lettre du 20 courant. Je n’en relèverai certes pas toutes les phrases, car il me faudrait couvrir d’encre plusieurs feuilles pour y répondre, et ce serait certainement temps perdu. Vous n’êtes pas sur place, et n’avez peu et une pouvez, par là même, nous rendre compte exactement de la situation mais de la Société des Antiq. De l’Ouest au milieu des difficultés qu’elle a traversée depuis trois ans et plus ; j’ajouterai que le ou les reporters que vous avez ici, n’ait pas été, ne sont pas, et ne serait pas en mesure de nous donner la note existent en ce moment encore dans la Société. Je laisse tous, pour le moment cette question, quitte à y tenir lorsque j’aurai le plaisir de nous voir. Alors seulement nous pourrons causer de cette situation de la Société ainsi que celle que vous avez prise envers elle dans ces derniers temps Vous n’avez agi, et n’agissez, au sujet de l’affaire de [Chiernur ?] que d’après les renseignements et les jugements que vous avez reçus des quelques membres de la Société qui ne sont qu’une infime partie de la société elle- même. - Vous aviez agi et vous agissez tout autrement, je crois, [manque] vous enviez [illisible], et si vous [illisible] le autre de la société. – Je suis donc loin de vous incriminer, car, j’en sur : vous avez cru et vous croyez peut-être encore servir loyalement ses intérêt (cela ne m’étonne pas de votre part) ; mais n’ayant pas les renseignements indispensables et sûrs en matière aussi grave pour juger la question pour qu’ils ne vous [connaissent ?] que de quelques uns de ses membres, je m’explique vos agissements et les comprends par là-même.