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Niort, le 11 décembre 1885
Mon révérend Père
Je viens d’écrire à Monsieur Bichard ; je suis confus et contrarié de toute la peine qu’il se donne ; mais du moment qu’il fait vaincre tant d’hostilité, qu’il faut recouvrir à tant de diplomatie, je commence à y regarder à deux fois. Je ne saurais être enchanté d’une situation qu’il faut enlever, pour ainsi dire, par surprise ou par intrigue et qui, après tout, ne vaudrait peut- être pas la peine que