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Paris 13 juin 1882

Mon révérend père, J'ai reçu la visite de M. Bocquet que j'attendais pour répondre à votre dernière lettre. Il m'a apporté le manuscrit de voter intéressant travail sur l'hypogée de Poitiers, ainsi que les planches et j'ai pu lire l'une et examiner les autres avec toute l'attention possible. Je vous remercie beaucoup d'avoir permis que l'aie ainsi la primeure d'un ouvrage qui offre à mes yeux un grand intérêt. Je ne dis pas que je vous croirais sans observation à toutes vos conclusions l'interpréta- ton que vous donnez de l'inscription