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et qui vient pourtant en grand nombre sur les pièces d'orfèvreries anciennes de la Grèce, ainsi que sur des objets romains ou romano-gaulois, tels que la Vénus en terre cuite décrite dans la revue des Sociétés savantes (vol. VII, page 104, figure 1 et 2) ; 2° de rosaces, composées d'un large cercle formant bordure semé de perles en creux (grande marche J) ; 3° d'autres rosaces accolées ensemble d'une grande variété de composition (chambranle gauche de la porte M) ; 4° de torsades (grande marche J, et petite marche N) ; 5° de rinceaux à feuilles de lierre (chambranle droit de la porte M, marche N, pierres recouvrant la fosse 9, 10 et le petit sarcophage 11.). Une ornementation qui fait réellement partie intégrante de la décoration me parait unique en son genre et demande à être signalée ; elle consiste en des incrustations de verre ui sont collées avec un mortier rose, fin, dans les cavités pratiquées à dessein dans certaines parties des sculptures, des ciselures et de quelques inscriptions, et ce verre cassé irrégulièrement n'a pas moins de un centimètre dans sa plus grande dimension ; il est de couleur verte, bleu et jaunâtre, en tout semblable à celui rencontré dans la vaste nécropole païenne dont j'ai parlé et qui touche à celle chrétienne qui nous occupe.