8:127:11931
depuis le triste événement qui m'a ramené auprès de vous tous, l'état de ma santé m'a privé de tout déplacement, et actuellement encore, je ne puis m'absenter de Poitiers. Si cependant je me remettais un peu, à la fin de votre cure de Royat, je m'empresserais de me rendre à votre si cordiale invitation.
Je suis bien heureux d'apprendre la naissance de ne nouvel enfant que le bon Dieu a accordé à votre chère fille Thérèse. Votre bien aimé et si excellent mari aurait en effet joui de cette nouvelle naissance, lui qui aimait tant ses petits enfants.
Veuillez chère Madame, présenter mes respectueux souvenirs à votre vénérée Mère, ainsi qu'à tous les vôtres, et agréer la nouvelle expression de mes sentiments très respectueusement dévoués en n. s.
C. de la Croix