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11 septembre 1903
Mon cher Père
j'ai appris avec peine que vous aviez encore été souffrant - j'espère que vous êtes maintenant remis de la fatigue causée par vos travaux aux Bouchauds où nous avons bien vivement regretté de ne pas vous voir l'autre jour. J'ai peur que nos maçons n'aient encore mauvais temps pour finir leur travail, car vraiment cette saison soit disant d'été est désolante - chez nous en Charente, cela prend les proportions d'un désastre, car la