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46e La pièce commence par un monologue de Pipi Louarn que ses parents ont laissé se débrouiller tout seul et qui va entreprendre le combat pour la vie : il est bien armé :

Tano ec'h e ma fri, ma diouskouarn glew scler. Ma lagad n'ê ket picous, ma diar n'int quet ber

Il ne craint pas le « combat » (combattin) : il a ses dents et ses griffes pour endre chère la partie.

Clewet meus cousgoude gant ma mamm ha ma zad Pere ho deus collet meur a vlew er gombat Penos eo mad evitan an oll drouc rencontcho ha nem denn mar geller, dre ar finesséo. Decidet mad ec'hon, pe n'on lesk bars ma roll Da laquet en pratiq ho avijo mad holl. Ma bouëllou zo cleus hag ar ra din drebon Na vaquet o tiscouri e torrin ma naon..

Et le voila en campagne. Il aborde d'abord le coq : fable connue. Le coq, avant de participer à la réconciliation universelle attend l'arrivée de deux chiens qui viennent sans doute l'annoncer de leur côté. Et le renard de déguerpir.

[écrit à l'envers : 139]