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Poitiers, le 9 avril 1898
M. Babelon [Conservateur ?] de l'Institut Paris
Mon Cher Maître,
Votre lettre a réveillé en sursauts le [Bon ?] Père qui s'était endormi sur son travail de [Berthouville ?] en attendant les [événements ?]. Tout n'est pas prêt ; mais enfin ce qui manque ne sera pas long à terminer. En vous voyant à Paris le Révérend Père vous expliquera cela. Il emportera tous ses dessins, [illisible] de plans etc.. pour montrer à M. Liard, qu'il [illisible], et qu'il serait heureux de revoir avec vous pendant son séjour à Paris. A cet égard, il vous prie de demander une audience à Mr Liard pour le jour qui vous conviendra. Depuis notre dernier voyage à Paris, nous avons été le R. P. et moi éprouvés par la maladie. Je n'aurai pas le plaisir de vous voir à Paris parce qu'il me faut rester pour assister ma femme dans [illisible]