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soleil luisait sur la mer toute jeune. Nous avons passé depuis qque temps les îles anglaises (la veille, j'ai vu les feux de Jersey et ceux du Cotentin ds le lointain. Puis, vers 8 heures, l'ehure où j'écris adossé au bastingage, la brume est venue, la brume anglaise, le temps blanc. L'île de Wight qui a fait une rapide apparition à tribord s'est asussitôt noyée. A tout moment nous stoppons : on ne voit rien devant soi. Le pitaine attend un effet de seoleil. Et ns sommes bientôt à l'entrée de Southampton, paraît-il, d'autant plus qu'il y a un peu de rivière à faire. Mais, de côte, pas encore l'ombre : on e voit pas à 500 m. A 8h 1/2, le soleil se lève de nouveau : le blanc laiteux de la mer se bleute. Devant nous, à tribord, se profile l'île de Wight, très-ongue, avec sa raie orangée au ras de seaux. e pilote de Cancale, attaché à la Compagnie se moque un peu en dedans des tergiversations du capitaine qui à pris la barre depuis que ns avons quitté les eaux de France (l(autre a conduit jusqu'à 1 heure du matin.