Différences entre versions de « 1:35:1964 »

De Transcrire
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
 
Ligne 17 : Ligne 17 :
   
 
_______________________________________________________
 
_______________________________________________________
  +
 
et ahuri au passage, l'ingéniosité des pêcheurs avec leur fabrication de barques consues, j'assiste d'ailleurs à l'opération, l'ouvrier fait un trou avec un poinçon rougi au feu, étouffe avec des vieux sacs qu'il imbibe d'un mélange imperméable et cloue une planche sur le tout. Quant aux diverses planches, on les assemble avec de la ficelle.
 
et ahuri au passage, l'ingéniosité des pêcheurs avec leur fabrication de barques consues, j'assiste d'ailleurs à l'opération, l'ouvrier fait un trou avec un poinçon rougi au feu, étouffe avec des vieux sacs qu'il imbibe d'un mélange imperméable et cloue une planche sur le tout. Quant aux diverses planches, on les assemble avec de la ficelle.
 
Il y a même de grandes barques ainsi assemblées, faites de deux grands troncs. Ce sont les "longs courriers" remontant à Mopti ou descendant [illisible]
 
Il y a même de grandes barques ainsi assemblées, faites de deux grands troncs. Ce sont les "longs courriers" remontant à Mopti ou descendant [illisible]

Version actuelle datée du 2 octobre 2017 à 09:19

A l'Est immédiat de la mosquée commence le cimetière où sont enterrés les fils d'Askia (de Gironcourt) 1920, L.320-1. Des chameaux, chèvres et moutons y paissent.

Les tombes sont des plus rudimentaires et les stèles aussi. Je reviens le long du Niger

_______________________________________________________


     [une photo]                                                      [une photo]


9 Le cimetière à l'Est                                    12  Barques  [illisible]
   de la mosquée de l'Askia                                sur le Niger
    C.50.437                                                              C.50.439

_______________________________________________________

et ahuri au passage, l'ingéniosité des pêcheurs avec leur fabrication de barques consues, j'assiste d'ailleurs à l'opération, l'ouvrier fait un trou avec un poinçon rougi au feu, étouffe avec des vieux sacs qu'il imbibe d'un mélange imperméable et cloue une planche sur le tout. Quant aux diverses planches, on les assemble avec de la ficelle. Il y a même de grandes barques ainsi assemblées, faites de deux grands troncs. Ce sont les "longs courriers" remontant à Mopti ou descendant [illisible]