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Version du 23 mars 2017 à 23:36
de lit de saint Samson. Leur surface présente des cavités, des rigoles ravinées par les pluies. On prétend que ces cavités sont la trace de la tête, du dos et des pieds du saint. Pour demander de la force, on s'allonge sur le dos à la place où se couchait le saint, en disant :
Samson rô d'ip eun tamm deuz danerz
Il y en a qui se raidissent tant, pour demander de la force, couchés là, qu'ils en grincent des dents.
Samson avait sa force dans ses cheveux. Une femme les lui coupa et il perdit sa force. (raconté à Port-Blanc, par Marie-Yvonne Mainguy)
[Calvaro ?] ar Peulven. C'est le beau menhir qui se dresse non loin de Penn-ar-Wern en Pleumeur- Bodou. On le voit en revenant de l'Ile Grande. A l'entour on a fait eurverred, c'est-à -dire un petit terrain gazonné comme autour des chapelles. Sur ce menhir sont représentés tous les instruments de la Passion sur une de ses faces. On y a dessiné aussi un Christ peinturluré en rouge et bleu, et de grandeur plus qu'humaine. Le menhir a bien près de 5 m de haut.
Samson portait sur son dos ce menhir, et l'on y voit encore l'empreinte de ses épaules, et les marques de sa tête. Il portait ce menhir peut-être pour faire pénitence, peut-être aussi pour montrer sa force. Une femme lui coupa les cheveux, et aussitôt il dut lâcher la pierre qui se planta debout et n'a pu être bougée depuis.
Saint Gildas s'était caché des Anglais : il s'était réfugié dans une roche au N. de la chapelle au -delà du bois de pins. Il y a dans cette roche un trou comme pratiqué par l'homme, et c'est là qu'il se fourrait pendant que les Anglais le cherchaient.
Sur la pierre qui sert de marchepied pour