Différences entre versions de « 4:50:4356 »

De Transcrire
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
(Page créée avec « 96 en santois. sur la tour inscription en mots écrits à rebours : ETTEC RVOT TVF TSYAF RAP NV EDNALRINE, L. 2171 (cette tour fut fait par un Irlandé en l'an 1712). Calv... »)
 
Ligne 19 : Ligne 19 :
 
Hyacinthe Morice, bénédiction de la
 
Hyacinthe Morice, bénédiction de la
 
congrégation de St Maur - (1750), et
 
congrégation de St Maur - (1750), et
  +
je lis dans la préface :
  +
" Sans le secours de l'Histoire,
  +
l'homme vivrait en étranger dans sa
  +
propre Patrie ". (p.V) - Un homme
  +
entreprit ce travail (rassembler les
  +
matériaux d'une histoire de Bretagne)
  +
dans le douzième siècle, et le conduisit
  +
jusqu'à la défaite. Des Normands par
  +
Alain Barbetorte, c'est à dire jusqu'à
  +
l'an 936. Cet Ouvrage était Latin, et
  +
fut traduit en Français l'an 1280,
  +
par Guillaume l'Amant Prieur de
  +
l'Abbaye de St Aubin des Bois à la
  +
prière de Madame de Matignon. Il a

Version du 17 décembre 2016 à 18:39

96 en santois. sur la tour inscription en mots écrits à rebours : ETTEC RVOT TVF TSYAF RAP NV EDNALRINE, L. 2171 (cette tour fut fait par un Irlandé en l'an 1712). Calvaire avec chaire à prêcher. - Chapelle de N. D. de Paradis En Tréméven, ruine du château de Coëtmen et Chapelle St Jacques. A Guingamp, sous le toit de |moncerné?] Lefort, ce jeudi matin, 6 juillet 1911. Réveillé par le soleil et le chant des oiseaux, à cind heures du matin, dans un Guingamp encore tout silencieux (j'entends comme humanité), j'ouvre l'Histoire de Bretagne de Dom Morice, - Dom Pierre - Hyacinthe Morice, bénédiction de la congrégation de St Maur - (1750), et je lis dans la préface : " Sans le secours de l'Histoire, l'homme vivrait en étranger dans sa propre Patrie ". (p.V) - Un homme entreprit ce travail (rassembler les matériaux d'une histoire de Bretagne) dans le douzième siècle, et le conduisit jusqu'à la défaite. Des Normands par Alain Barbetorte, c'est à dire jusqu'à l'an 936. Cet Ouvrage était Latin, et fut traduit en Français l'an 1280, par Guillaume l'Amant Prieur de l'Abbaye de St Aubin des Bois à la prière de Madame de Matignon. Il a