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+ | Le maquis est beaucoup plus riche ds ravins, surtout ravins de montagne (voir ravins de Chaume Pradels) là vu bruyères de 4 m, arbousier de 5-6 m. |
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+ | Beaucoup de coins à maquis clairs dégradés ont été évidemment cultivés (à rapprocher des traces de cultures sur ch’ chaine Bormes (v p 10). Près du Ponin, 400 m, chaines pr vergers ruines cabanes envahi par cyste, non loin un brave homme fait vigne. |
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+ | 1913 : il faut ajouter Arbousier (rare ds le bas) + fréquent ds les hauteurs sauvages et ravins non défrichés. Daphné idem mais plus répandu qu’arbousier, lentisque, ajoncs épineux genre genêt, qqfois des chênes (smilay qqfois pelus Kemis ?) |
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+ | L’impression de sauvagerie sur les crêtes au dessus de Pardigon dépasse tout ce qu’on peut imaginer. Certes il y a presque Come. |
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+ | On met le feu au sous-bois (pour éviter les incendies dit-on !!) les pins sont un peu grillés mais repoussent. |
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+ | Il apparaît de façon évidente que le maquis est bien une forme dérivée de la forêt de pins. Mais il n’a pas les mêmes propriétés stérilisantes que la lande. |
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+ | Il ne peut pas donner de terre noire. |
Version actuelle datée du 28 mai 2020 à 18:42
[page gauche] O Localisations de végétation (s’applique à environs Cavalaire Pardigon La Croix, Gassin Certes un peu différent ds l’Est des Maures (v[oir] au dos) prob[ablement] encore différent ds intérieurs des Maures
Le pin domine de beaucoup, mais sûr toujours ainsi : possible folle exploitation ou incendie ont détruit chêne au profit du pin plus rustique. Je remarque (v[ers] environs Gassin) versants exposés au vent de mer tout à fait dépourvus ch[ênes] lièges ( à part? versants exposés W et S) versants abrités exp à N ou E, surtout les fonds de vallée ou amphithéâtre abrités de plusieurs côtés sont meilleurs vers chênes lièges (Gassin, Chaume Pradels, pommier, Fontviellade) Le maquis est beaucoup plus riche ds ravins, surtout ravins de montagne (voir ravins de Chaume Pradels) là vu bruyères de 4 m, arbousier de 5-6 m.
En dehors montagne, la forêt-maquis est dégradée par interventions humaines 1°/ par suppression sous-bois 2°/par déboisement complet. Le résultat est lande exclusivement à cystes. Il semble le cyste soit la première plante du maquis à repousser après s’y implantent genêts épineux verts puis daphnies ou lentisques et lavande, l’arbousier ne reparaît pas. Beaucoup de coins à maquis clairs dégradés ont été évidemment cultivés (à rapprocher des traces de cultures sur ch’ chaine Bormes (v p 10). Près du Ponin, 400 m, chaines pr vergers ruines cabanes envahi par cyste, non loin un brave homme fait vigne.
[page droite] 1 Les Maures Végétation [rature] Le fond de la végétation est une forêt de pins et chênes lièges mélangés (non génétiquement séparés mais qqfois mélange (v. p. O). Dessous un sous-bois de bruyères blanches (pouvant atteindre qd on les laisse des tailles de 2- 3 m) de cystes, de genêts épineux, formant ds les endroits déboisés et abandonnés un vrai maquis 1913 : il faut ajouter Arbousier (rare ds le bas) + fréquent ds les hauteurs sauvages et ravins non défrichés. Daphné idem mais plus répandu qu’arbousier, lentisque, ajoncs épineux genre genêt, qqfois des chênes (smilay qqfois pelus Kemis ?)
L’impression de sauvagerie sur les crêtes au dessus de Pardigon dépasse tout ce qu’on peut imaginer. Certes il y a presque Come. On met le feu au sous-bois (pour éviter les incendies dit-on !!) les pins sont un peu grillés mais repoussent. Il apparaît de façon évidente que le maquis est bien une forme dérivée de la forêt de pins. Mais il n’a pas les mêmes propriétés stérilisantes que la lande. Il ne peut pas donner de terre noire.