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Étude de Me Blumereau
 
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NOTAIRE
 
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ROM (DEUX SEVRES)
 
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ROM, le 15 juillet 1899
 
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Mon Révérend Père,
 
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Je regrette bien de ne pas pouvoir vous adresser les documents que vous me demandez.
 
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En effet, vous avez dû emporter les plans dessinés par vous ; et pour preuve c’est que vous m’avez envoyé quelque temps après le décalque sur papier taffetas de ce plan. Vous aviez donc l’original.
 
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En effet, vous avez dû emporter les plans dessinés par vous ; et pour preuve c’est que vous m’avez envoyé quelque temps après le décalque, sur papier taffetas, de ce plan. Vous aviez donc l’original.
Maintenant, j’ai beau rechercher ce décalque, je ne le trouve pas et je suis convaincu de vous l’avoir joint au mémoire que je vous adressais en 1893 en vue de la publication de mes fouilles. Relisant la copie de ce mémoire, je vois que j’y avais joint un plan : ce devait être le vôtre.
 
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Maintenant, j’ai beau rechercher ce décalque, je ne le trouve pas, et je suis convaincu de vous l’avoir joint au mémoire que je vous adressais en 1893 en vue de la publication de mes fouilles. Relisant la copie de ce mémoire, je vois que j’y avais joint un plan : ce devait être le vôtre.

Version du 10 mai 2019 à 15:01

Étude de Me Blumereau

NOTAIRE

ROM (DEUX SEVRES)

ROM, le 15 juillet 1899

Mon Révérend Père,

Je regrette bien de ne pas pouvoir vous adresser les documents que vous me demandez.

En effet, vous avez dû emporter les plans dessinés par vous ; et pour preuve c’est que vous m’avez envoyé quelque temps après le décalque, sur papier taffetas, de ce plan. Vous aviez donc l’original.

Maintenant, j’ai beau rechercher ce décalque, je ne le trouve pas, et je suis convaincu de vous l’avoir joint au mémoire que je vous adressais en 1893 en vue de la publication de mes fouilles. Relisant la copie de ce mémoire, je vois que j’y avais joint un plan : ce devait être le vôtre.